xxxx
xx

 

 
xx



Jeau-Paul II :





xxxx












Ses différentes nominations :













Karol Wojtyla devient séminariste sous l'occupation Allemande en 1942.



Il est ordonné Prêtre de la Toussaint le 1er Novemvre 1946 (il a 26 ans).



Il poursuit ensuite sa formation à l’Angelicum de Rome, université alors dirigée par les dominicains.




Le 
28 septembre 1958, le pape Pie XII le nomme évêque auxiliaire de Cracovie.



À 38 ans, Karol Wojtyla est le plus jeune évêque de la République Populaire de Pologne.




Il est nommé archevêque au côté du 
Cardinal Wyszy?ski, primat de Pologne, et figure de proue de l’épiscopat polonais dans la résistance au communisme.







Paul VI le nomme archevêque de Cracovie le 30 décembre 1963.













Paul VI le nomme cardinal de San Cesareo in Palatio le 28 juin 1967.



Âgé de 47 ans, il est alors le plus jeune de tous les cardinaux vivants.



Le 26 août 1978, à la mort de 
Paul VI, Karol Wojtyla, cardinal, participe à l'élection du futur pape. 




Albino Luciani, patriarche de Venise, est alors élu, et prend le nom de Jean-Paul Ier, en hommage aux deux précédents papes qui ont ouvert et fermé le Concile Vatican II, Jean XXIII et Paul VI.



Jean-Paul I meurt trente-trois jours plus tard.


Au cours de ce conclave, Karol Wojtyla avait déjà reçu neuf voix de cardinaux.



Karol Wojtyla est donc élu au huitième tour de scrutin, le 16 octobre 1978, pape de l'Eglise Catholique romaine. 











Tentative d'assassinat de Jean-Paul II :











Le mercredi 13 mai 1981, Mehmet Ali Agca, membre de l'organisation nationaliste turque des « loups gris », tenta d'assassiner le pape Jean-Paul II, sur la place Saint Pierre à Rome.



Le pape fut touché trois fois et perdit une grande partie de son sang avant d'être hospitalisé.



Mehmet Ali Agca fut interpellé sur-place et plus tard condamné à la prison à perpétuité.


Selon les résultats de l'enquête menée par une commission parlementaire italienne, il s'agissait d'un complot ourdi par plusieurs États du bloc communiste.


Bien que cette théorie soit la plus vraisemblable, d'autres pistes ont continué à être évoquées jusqu'à ce jour.












Déroulement de l'attentat :










Le 13 Mai 1981, le turc Mehmet Ali Agca tire à plusieurs reprises sur le pape Jean-

Paul II qui se trouvait sur la place Saint Pierre dans l'enceinte du Vatican pour

l'audience générale hebdomadaire devant 20 000 fidèles, avant d'être rapidement

maîtrisé par la foule et les services de sécurité du pape.







Le Pape est blessé à l'abdomen, au bras gauche et à la main droite.





Deux autres personnes furent touchées : une américaine (Ann Odre) et une

jamaïcaine ( Rose Hill).





 

L’ambulance qui a transporté le pape grièvement blessé à l'abdomen par un des

projectiles a mis alors 8 minutes ; sans sirène, elle était en panne, alors que le

véhicule était neuf pour arriver à l’hôpital Gemelli, où l’opération a duré cinq heures,

tandis que la foule en prière, venue pour l’audience générale du mercredi (alors

l’après midi) ne quittait pas la place Saint-Pierre.






Lors de la transfusion sanguine, le pape contracte un cytomégalovirus

qui a failli lui être fatal quelques semaines plus tard.




 

Peu après la tentative d'assassinat, à Noël 1983, Jean Paul II lui rend visite en prison.










Après une conversation privée, le pape déclare : « Ce dont nous avons parlé restera

un secret entre lui et moi. Je lui ai parlé comme à un frère à qui j'ai pardonné et qui a

mon entière confiance. »
.






Agca est condamné en Italie à la prison à vie mais libéré après 19 années de captivité

puis emprisonné en Turquie
.




Agca est finalement libéré sur parole en janvier 2006, mais il retourne en prison huit

jours après car la Cour de cassation turque estime finalement que les réductions de

peines appliquées avaient été mal calculée
.






Mehmet Ali Agca est finalement sorti de prison le 18 janvier 2010, après de 30 ans

passé derrière les barreaux.






Selon les confidences de Mieczyslaw Mokrzycki, l'assistant de Stanislas Sziwisz le

secrétaire particulier de Jean-Paul II (extraites du livre "Le mardi était son jour

préféré" - Éditions des Béatitudes), le pape lui confia la déception de sa rencontre

avec Ali Agca : "Ni repentir, ni regret, il n'a pas prononcé le mot pardon".














Voici un lien qui pourrait vous intérésser en ce qui concerne Mehmet Ali Agca :



fr.wikipedia.org/wiki/Mehmet_Ali_A%C4%9Fca











Seconde tentative d'assassinat du Pape Jean-Paul II :






Dans le film Testimony, portant sur la vie de Jean-Paul II, le cardinal Stanis?aw

Dziwisz
 affirme que le souverain pontife a été blessé par un coup de poignard lors

d'une visite au sanctuaire marial de Fatima au Portugal en 1982.




 

Le pape, qui venait remercier, dans ce sanctuaire, la Vierge Marie pour avoir échappé

aux coups de feu tirés contre lui par 
Mehmet Ali Agca
, est attaqué par Juan María

Fernández y Krohn, un prêtre intégriste
espagnol opposé à la libéralisation de

l'Église.







Celui-ci se précipite sur le Pape avec un poignard à la main, mais il est rapidement maîtrisé.





L'information n'est pas diffusée et le pape termine son voyage sans révéler ses blessures.




« Je peux aujourd'hui révéler que le Saint-Père avait été blessé. Quand nous

sommes entrés dans la salle, nous avons vu qu'il saignait », déclare Mgr Dziwisz

dans le documentaire.

 









Voici un lien qui pourrait vous intérésser en ce qui concerne ce prêtre intégriste "fou" :



archives.lesoir.be/il-y-a-dix-huit-ans-juan-maria-fernandez-krohn-avait-te_t-20000513-Z0J70F.html








Problèmes de santé et décès du Pape Jean-paul II :











Jean-Paul II avait réclamé dès l'ouverture de son pontificat que « les malades soient

placés au premier rang
.





Il a lui-même subi en tout six interventions chirurgicales.






Après avoir perdu trois litres de sang lors de l'opération de cinq heures qui a suivi

l'attentat de 1981, il a été transfusé avec du sang contaminé par un 
cytomégalovirus,

ce qui l’affaiblira énormément par la suite
.





Il a souffert de la 
maladie de Parkinson depuis le milieu des années 1990. 





Il a été victime d'une tumeur de l'intestin, suivie d'une opération en 1992.






Il fit plusieurs chutes, se fracturant notamment le col du fémur et se luxant l'épaule.













 

En 2005, il contracte une grippe qui se transforme en laryngotrachéite aiguë avec des

crises de spasmes du larynx, ce qui l'oblige à être hospitalisé le 9 février 2005.







Le 23 février, il est de nouveau hospitalisé suite à une crise d'étouffement, puis on

pratique une trachéotomie.






Il s'était entraîné à prononcer la bénédiction Urbi et Orbi le jour de Pâques mais reste

muet à sa fenêtre, sans arriver à dire un mot.







Le 31 mars, il est victime d'un choc septique, d'un collapsus cardio-vasculaire et

d'une infection urinaire en même temps.







Jean-Paul II refuse alors l'hospitalisation.






Dans la journée du 2 avril 2005
, il dit adieu à ses collaborateurs, un par un, puis

écoute l'Evangile de Jean prononcée par une des religieuses qui l'avaient servi

pendant 25 ans.










 

Il entre dans le coma en soirée puis s'éteint au Vatican le 2 avril 2005, veille du

Dimanche de la divine miséricorde, à 21 h 37, heure locale, à l’âge de 84 ans et après

un pontificat de 9 673 jours, le troisième plus long de l'histoire de l'église
.






D’après le certificat du décès publié le 3 avril
 par le Vatican, sa mort est due à un

choc septique
 et une insuffisance cardiaque.






Il est enterré au Vatican le 8 avril.






Le cardinal 
Ratzinger lui succède le 19 avril 2005 sous le nom de Benoît XVI.












 
Funérailles :















Plus de 3 millions de personnes viennent à Rome, du 2 au 8 avril 2005.





Celles qui vont en la basilique vaticane, saluer la dépouille du pape, défilent au

rythme de 21 000 à l'heure, soit 350 personnes à la minute.







L'attente va de 13 à 24 h, avec une queue maximale de cinq kilomètres.


 





Le jour des funérailles, 500 000 fidèles se trouvent Place Saint-Pierre et Via della

Conciliazione, 600 000 dans les sites urbains dotés d'écrans géants installés par la

municipalité.














La salle de presse du Saint-Siège et le Conseil pontifical pour les Communications

sociales délivrent plus de 6 000 accréditations (journalistes, photographes, reporters

de radio-télévision) pour la couverture de l'événement.







137 chaînes TV de 81 pays diffusent la Messe de funérailles.






On estime à deux milliards le nombre de personnes qui ont vu la cérémonie

d'enterrement de Jean-Paul II à travers le monde
.






La Messe de funérailles est concélébrée par 157 cardinaux, en présence de 700

archevêques et évêques, 3 000 prélats et prêtres.







De nombreux pays décrètent une ou plusieurs journées de deuil à la suite du décès

de Jean-Paul II.







Certains à majorité catholique comme le Brésil, l'Italie, les Philippines, la Pologne.






D'autres où les chrétiens sont minoritaires, comme l'Inde, le Tchad, l'Albanie, etc.






Dans d'autres pays, dont la France, la Suisse et la Turquie, les drapeaux sont mis en

berne sur les bâtiments publics.











Béatifications et canonisation :















Il a redonné une impulsion au culte des saints, en célébrant 1 338 béatifications et 482 canonisations 
dont 402 martyrs.




Il réforme les exigences de la canonisation, en ne demandant qu'un miracle au lieu de deux pour canoniser
.





La volonté du Pape était de montrer l'universalité de la sainteté.







Le Concile Vatican II affirmant que tous les chrétiens étaient appelés à la sainteté.










Jean-Paul II voulait donc revivifier la dévotion aux saints qui avait été un peu oublié après le Concile Vatican II
, la vie des saints étant souvent considéré comme exceptionnelle et éloignée de la réalité quotidienne.





II a recherché par ces nombreuses 
béatifications et canonisations à démontrer que tous les catholiques étaient appelés à devenir des saints, et ceci quels que soient leurs pays, leurs cultures et leurs origines, montrant par là même l'universalité de l'Église.





Ainsi il béatifia de nombreuses personnes, tant laïcs que prêtres et religieux, montrant que tous les états de vies, le mariage comme la vie religieuse, étaient des formes possible de la sainteté
.






La béatification du Pape Jean-Paul II :












En novembre 2009, la congrégation pour les causes des Saints
 valide « l'héroïcité

des
vertus »,
 du défunt pape.






Le 19 décembre 2009, le 
pape Benoît XVI a proclamé le décret reconnaissant son

prédécesseur comme 
vénérable.





 

Le 14 janvier 2011, le Vatican annonce sa décision de béatifier Jean-Paul II le 1er mai

2011, à l'occasion du Dimanche de la divine miséricorde.






Le Pape Jean-Paul II a donc été béatifié le Dimanche 01 Mai 2011.













D'ailleurs je tenais à dire aux internautes qui

liraient cet article que ce fut ce jour-là, (le 1er Mai 2011) que je

décidai de rendre hommage au Pape Jean-Paul II

en créant cette page dans mon blog consacré à

Madagascar.








 

http://cecilefirelight.boosterblog.com/


xx
 
xx


xxBooste le trafic de ton blog xx       xxxx



xx

Découvrez la playlist Ma musique preferee avec Richard Clayderman
xx      xxxx    

xxxx  xxxx  xxxx  xxxx
 

 

xx
 

 

Afficher la suite de cette page




Créer un site
Créer un site